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mercredi 12 décembre 2012

Dvd: Les nouveaux chiens de garde, Un film de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat

Les nouveaux chiens de garde
Un film de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat
Scénario : Serge Halimi, Pierre Rimbert, Renaud Lambert, Gilles Balbastre, Yannick Kergoat
Production : JEM Productions
Les médias se proclament « contre-pouvoir ». Pourtant, la grande majorité des journaux, des radios et des chaînes de télévision appartiennent à des groupes industriels ou financiers intimement liés au pouvoir. Au sein d’un périmètre idéologique minuscule se multiplient les informations prémâchées, les intervenants permanents, les notoriétés indues, les affrontements factices et les renvois d’ascenseur.
En 1932, Paul Nizan publiait Les Chiens de garde pour dénoncer les philosophes et les écrivains de son époque qui, sous couvert de neutralité intellectuelle, s’imposaient en gardiens de l’ordre établi.
 Aujourd’hui, les chiens de garde, ce sont ces journalistes, éditorialistes et experts médiatiques devenus évangélistes du marché et gardiens de l’ordre social. Sur le mode sardonique, Les Nouveaux chiens de garde dressent l’état des lieux d’une presse volontiers oublieuse des valeurs de pluralisme, d’indépendance et d’objectivité qu’elle prétend incarner. Avec force et précision, le film pointe la menace croissante d’une information pervertie en marchandise.
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lundi 12 novembre 2012

video: Serge Halimi, Les enjeux des élections américaines de 2012

Serge Halimi à l’Institut français de Budapest

En partenariat avec l’édition hongroise du Monde Diplomatique, Serge Halimi, rédacteur en chef du Monde Diplomatique édition française a tenu le 8 octobre à l’Institut Français de Budapest une conférence sur le thème « Les enjeux des élections américaines de 2012 ».
Qu’ont en tête les américains et leurs candidats deux mois avant les élections ? Quels sont les thèmes de cette élection ? Quels sont les fondements idéologiques du parti Républicain ? Serge Halimi nous éclaire sur les intentions des candidats et sur leurs stratégies de campagne en les mettant en perspective avec l’histoire récente des Etats-Unis.

dimanche 14 octobre 2012

Serge Halimi, Le Grand Bond en arrière. Comment l’ordre libéral s’est imposé au monde


Serge Halimi
Le Grand Bond en arrière
Comment l’ordre libéral s’est imposé au monde
Nouvelle édition revue et actualisée par l’auteur
Agone
2012
Présentation de l'éditeur
De l’Amérique de Reagan à la France de Mitterrand, en passant par la Nouvelle-Zélande, les transformations économiques amorcées à partir des années 1980 n’ont été le produit ni du hasard ni de la nécessité. Si les « décideurs » et les médias du monde occidental ont presque toujours interprété de manière identique les situations de « crise », c’est que tout un travail idéologique était intervenu au préalable, c’est que les solutions alternatives au marché avaient été détruites afin qu’il n’y ait « plus d’alternative ». D’autres lectures des événements auraient suggéré d’autres remèdes, mobilisé d’autres forces sociales, débouché sur d’autres choix.
Inspirées par les théoriciens de l’université de Chicago, les doctrines économiques libérales vont encourager les classes dirigeantes à durcir leurs politiques, à passer d’un système économique mixte acceptant une certaine redistribution des revenus à un nouveau capitalisme orienté par les seuls verdicts de la finance. Les artisans de cette métamorphose en tireront un avantage considérable ; pour la plupart des autres, au contraire, ce sera le grand bond en arrière.
Journaliste et historien, essayiste et pamphlétaire, spécialiste des médias et d’économie politique, directeur du Monde diplomatique, Serge Halimi est l’auteur des Nouveaux Chiens de garde (Raisons d’agir, 1997, 2005) et de « L’opinion, ça se travaille… ». Les médias et les « guerres justes » : Kosovo, Afghanistan, Irak (avec Dominique Vidal et Henri Maler, Agone, 2006).

mercredi 23 novembre 2011

écouter: présentation du Monde diplomatique de novembre 2011

écouter: présentation du Monde diplomatique de novembre 2011, Avec : Serge Halimi, Laurent Bonelli, Renaud Lambert, Louis Imbert et Franck Poupeau.
Là-bas si j'y suis par Daniel Merme, 21 novembre 2011


Programmation musicale :
- Nojazz : "Happy 68"
- Guy Bontempelli : "Merveilleuse gauche française"

  • Où est la gauche à l’heure de la tourmente économique ?

    Editorial, Serge Halimi
    Alors que le capitalisme connaît sa crise la plus sérieuse depuis celle des années 1930, les principaux partis de gauche semblent muets, embarrassés. Combien de temps ce jeu politique verrouillé peut-il durer alors qu’enflent les colères sociales ? ¶ pages 1, 14 et 15

mardi 25 octobre 2011

Critique des sondages. Colloque Le Monde diplomatique – Observatoire des sondage, 5 novembre 2011

Samedi 5 novembre 2011 de 9 à 17 heures

Assemblée nationale
126, rue de l'Université - Paris 7e
Il existe un courant critique des sondages qui, depuis longtemps, avec Herbert Blumer en 1948 (« Public opinion and public opinion polling »), Pierre Bourdieu en 1972 (« L’opinion publique n’existe pas »), apporte une contribution substantielle à la compréhension de sondages au-delà des clichés intéressés sur leur caractère naturellement démocratique et scientifique. Au moment où le rôle des sondages avec leur prolifération, leur place croissante dans la politique et leur dégradation qualitative les met sur la sellette, il est important de faire un bilan de cette critique. L’actualité politique aussi y contribue alors qu’une campagne électorale présidentielle a commencé et qu’une proposition de loi parlementaire est discutée.
Or, la critique scientifique monte à l’égard d’une économie des sondages de moins en moins liée à la science et à la démocratie. On saurait d’autant moins négliger cette critique qu’elle perdure, s’approfondit et s’assure de la pérennité par la relève générationnelle. Pourtant, ses penseurs sont généralement contraints de « débattre » avec des sondeurs pour paraître dans les médias, leur servir de caution et être choisis. Demande-t-on à des spécialistes des classes moyennes de n’apparaître qu’en compagnie de petits commerçants et autres membres des classes moyennes ? Il est temps que les débats scientifiques reprennent leur autonomie tout en ayant accès aux lieux de débats publics sans conditions préalables.
Dans ces circonstances, l’organisation d’une journée de colloque autour de spécialistes de l’opinion, des sondages et des médias peut être un moment important de réflexion. Le colloque se déroulera le 5 novembre 2011 à l’Assemblée nationale, une manière de marquer l’utilité de la critique. Organisée dans les grandes villes universitaires de France à l’initiative des Amis du Monde diplomatique, une série de conférences-débat suivra le colloque.
Alain Garrigou (9 juin 2011)


mardi 5 juillet 2011

Les Nouveaux Chiens de garde. Un film de Yannick Kergoat et Gilles Balbastre, 10 juillet 2011

Les Nouveaux Chiens de garde
Un film de Yannick Kergoat, Gilles Balbastre
France - 2011 - Couleur -

 Un film que personne ne voulait ! Un film indispensable…

La presse se proclame contre-pouvoir. Mais qui la possède ? Comment fonctionne-t-elle ? Pourquoi ses principaux acteurs sont-ils devenus des évangélistes du marché ? Avec la crise économique que nous vivons la question est d’autant plus d’actualité. Au terme de l’enquête, on saisira la menace qu’une information orientée idéologiquement et pervertie en marchandise fait peser sur la vie démocratique.
En 1932, l’écrivain Paul Nizan publiait Les chiens de garde pour dénoncer les philosophes et les écrivains de son époque qui, sous couvert de neutralité intellectuelle, s’imposaient en véritables gardiens de l’ordre établi. Aujourd’hui, les chiens de garde sont journalistes, éditorialistes, experts médiatiques, ouvertement devenus évangélistes du marché et gardiens de l’ordre social. Sur le mode sardonique, Les Nouveaux Chiens De Garde dénonce cette presse qui, se revendiquant indépendante, objective et pluraliste, se prétend contre-pouvoir démocratique. Avec force et précision, le film pointe la menace croissante d'une information produite par des grands groupes industriels du Cac 40 et pervertie en marchandise. Premier long métrage de deux cinéastes engagés dans le débat critique des médias.

Dimanche 10 juillet 2011
20h, MK2 Bibliothèque (13e), Présentation et débat avec les réalisateurs Gilles Balbastre, Yannick Kergoat, le scénariste Serge Halimi et Frédéric Lordon (économiste et directeur de recherche au CNRS)

samedi 13 mars 2010

écoutez: « Là-bas si j’y suis », Monde diplomatique autour du numéro de mars.

Vendredi 12 mars, dans « Là-bas si j’y suis », sur France Inter, Daniel Mermet s’entretenait avec l’équipe du Monde diplomatique autour du numéro de mars. Une émission enregistrée en public à la Java, à Paris.

Serge Halimi résume la situation à la sortie de la crise : « Pour les Etats, ça se passe mal ; pour les banques, ça se passe bien. »

« Un pays peut-il faire faillite ? » Non, répond Laurent Cordonnier, mais la peur suscitée par cette menace permet de justifier les plans d’austérité les plus redoutables. Pour renflouer les comptes publics, l’économiste et son confrère Frédéric Lordon suggèrent simplement de « taxer les riches ».

Maurice Lemoine raconte « un western spaghetti à la sauce tomate » : le reportage de Pierre Daum et Aurel consacré au parcours peu engageant d’une tomate espagnole.

Thomas Deltombe décrit les talents des conseillers en communication français qui exercent leur art auprès des dirigeants africains

Enfin, David Garcia explique comment le rugby, sport amateur, est devenu un marché lucratif

Information trouvée sur le site du Monde diplomatique